top of page

No Collections Here
Sort your projects into collections. Click on "Manage Collections" to get started
Mon Portfolio
Bienvenue sur mon portfolio.
Vous trouverez ici une sélection de mes travaux d'auteur.


Série 'Fluidités'
"Fluidités" (2019) est une série photographique réalisée en infrarouge proche, dans laquelle l’artiste explore les profondeurs silencieuses de l’eau et la grâce suspendue des plantes aquatiques. Capturées à environ quarante centimètres sous la surface, ces images révèlent une réalité invisible à l’œil nu, baignée d’une lumière irréelle.
À travers cette série, l’auteur poursuit une quête constante : celle de donner forme à une vision onirique du monde, de dévoiler ce qui échappe à la perception immédiate. "Fluidités" est une immersion dans un ailleurs liquide, où les formes végétales deviennent filaments de pensée et les ondulations de l’eau, échos d’un inconscient naturel. Loin du documentaire, ces photographies invitent à une expérience sensorielle et poétique d’un monde parallèle, entre abstraction et présence.
À travers cette série, l’auteur poursuit une quête constante : celle de donner forme à une vision onirique du monde, de dévoiler ce qui échappe à la perception immédiate. "Fluidités" est une immersion dans un ailleurs liquide, où les formes végétales deviennent filaments de pensée et les ondulations de l’eau, échos d’un inconscient naturel. Loin du documentaire, ces photographies invitent à une expérience sensorielle et poétique d’un monde parallèle, entre abstraction et présence.


Série "Roussalka"
"Roussalka" (2021) est une série photographique inspirée du personnage éponyme issu de la mythologie slave. L’artiste y explore la figure énigmatique de l’ondine esprit des eaux vives, fragile et envoûtant qui hante les lacs et danse au clair de lune.
Ces êtres féminins, à la fois sensibles et redoutables, attirent les jeunes hommes dans les profondeurs aquatiques, les enveloppant de leur mélancolie avant de les emporter avec elles. À travers une esthétique délicate et nocturne, la série donne corps à cette légende ancienne, en capturant la beauté vaporeuse, presque irréelle, de cette danse silencieuse entre la lumière lunaire et les reflets de l’eau.
"Roussalka" évoque un monde flottant entre désir et perte, entre surface et abîme. C’est une méditation visuelle sur la tristesse, la séduction, et la présence invisible du mythe dans le paysage naturel.
Ces êtres féminins, à la fois sensibles et redoutables, attirent les jeunes hommes dans les profondeurs aquatiques, les enveloppant de leur mélancolie avant de les emporter avec elles. À travers une esthétique délicate et nocturne, la série donne corps à cette légende ancienne, en capturant la beauté vaporeuse, presque irréelle, de cette danse silencieuse entre la lumière lunaire et les reflets de l’eau.
"Roussalka" évoque un monde flottant entre désir et perte, entre surface et abîme. C’est une méditation visuelle sur la tristesse, la séduction, et la présence invisible du mythe dans le paysage naturel.


Série "Photo Thérapie"
"Photo Thérapie" (2021) est une série intime née en pleine pandémie de la Covid-19. L’artiste y explore les tensions silencieuses et les douleurs invisibles d’une cohabitation prolongée entre mère et fille, contrainte par les circonstances à durer plus de deux ans.
Alors que la communication verbale s’était peu à peu éteinte, l’artiste a tenté de raviver un lien à travers deux séances de portraits espacées de trois mois. Dans ces mises en scène photographiques, elle déguise sa mère une manière d’ouvrir un espace symbolique où les échanges, bien que muets, pouvaient encore exister. La mère, figée, accepte tout sans jamais changer d’expression, comme une forme de soumission douce ou de résistance silencieuse.
"Photo Thérapie" est un travail à la frontière du documentaire et de l’exutoire, où la photographie devient à la fois témoin et tentative de réparation. À travers ces images sobres et chargées d’émotion, l’artiste interroge les non-dits, les gestes interrompus, et les formes possibles d’une parole alternative lorsque les mots font défaut.
Alors que la communication verbale s’était peu à peu éteinte, l’artiste a tenté de raviver un lien à travers deux séances de portraits espacées de trois mois. Dans ces mises en scène photographiques, elle déguise sa mère une manière d’ouvrir un espace symbolique où les échanges, bien que muets, pouvaient encore exister. La mère, figée, accepte tout sans jamais changer d’expression, comme une forme de soumission douce ou de résistance silencieuse.
"Photo Thérapie" est un travail à la frontière du documentaire et de l’exutoire, où la photographie devient à la fois témoin et tentative de réparation. À travers ces images sobres et chargées d’émotion, l’artiste interroge les non-dits, les gestes interrompus, et les formes possibles d’une parole alternative lorsque les mots font défaut.


Série "Alien"
"Alien" (2022) est une série photographique qui explore les expressions humaines confrontées à la peur, inspirée par la figure de Ripley dans le film "Alien" de Ridley Scott. À l’instar de l’héroïne, prise dans un huis clos oppressant avec un extraterrestre, l’artiste s’intéresse à la manière dont la peur, la douleur et leur anticipation modèlent nos visages et transforment nos identités.
Ce travail s’inscrit en amont d’épreuves personnelles traversées par l’auteur, comme une exploration intuitive et anticipée de la souffrance à venir. La série suit une trajectoire visuelle : des premiers portraits sur fond clair, où subsiste encore une forme d’innocence ou de retenue, jusqu’aux derniers, plus sombres, marqués par l’empreinte des expériences. Ce passage progressif vers l’obscurité illustre la trace laissée par la douleur sur le corps et la psyché.
"Alien" est à la fois une méditation sur la peur primitive et un témoignage silencieux de la résilience. Par la photographie, l’artiste met en lumière ces moments de bascule où l’humain, confronté à ses propres ténèbres, devient autre un étranger à lui-même.
Ce travail s’inscrit en amont d’épreuves personnelles traversées par l’auteur, comme une exploration intuitive et anticipée de la souffrance à venir. La série suit une trajectoire visuelle : des premiers portraits sur fond clair, où subsiste encore une forme d’innocence ou de retenue, jusqu’aux derniers, plus sombres, marqués par l’empreinte des expériences. Ce passage progressif vers l’obscurité illustre la trace laissée par la douleur sur le corps et la psyché.
"Alien" est à la fois une méditation sur la peur primitive et un témoignage silencieux de la résilience. Par la photographie, l’artiste met en lumière ces moments de bascule où l’humain, confronté à ses propres ténèbres, devient autre un étranger à lui-même.


Série "Voir comme les abeilles"
"Voir comme les abeilles" (2024) est une série photographique qui explore le monde végétal à travers la lumière des ultraviolets proches. En détournant les outils de la photographie scientifique, l’artiste révèle une réalité lumineuse et insoupçonnée, proche de celle perçue par les insectes pollinisateurs.
Les couleurs se transforment sous l ’effet du changement de longueur d’onde, dévoilant des motifs cachés et des lueurs inattendues. Au-delà de cette palette métamorphosée, l’auteur capte également la fluorescence induite par l’ultraviolet : une lumière propre, émise par certaines matières végétales, comme un langage secret entre les fleurs et les insectes.
Résolument éloignée d’une approche documentaire, la série plonge le spectateur dans un univers visuel magique et irréel, évoquant les mondes imaginaires d’"Avatar" de James Cameron. Entre science et poésie "Voir comme les abeilles" propose une plongée sensible dans une autre dimension du visible un regard altéré et élargi, à la frontière du rêve et de la science.
Les couleurs se transforment sous l ’effet du changement de longueur d’onde, dévoilant des motifs cachés et des lueurs inattendues. Au-delà de cette palette métamorphosée, l’auteur capte également la fluorescence induite par l’ultraviolet : une lumière propre, émise par certaines matières végétales, comme un langage secret entre les fleurs et les insectes.
Résolument éloignée d’une approche documentaire, la série plonge le spectateur dans un univers visuel magique et irréel, évoquant les mondes imaginaires d’"Avatar" de James Cameron. Entre science et poésie "Voir comme les abeilles" propose une plongée sensible dans une autre dimension du visible un regard altéré et élargi, à la frontière du rêve et de la science.


Série "Wabi-Sabi"
"Wabi-Sabi" (2023) est une série photographique inspirée du concept esthétique japonais éponyme, issu de la philosophie zen. L’artiste y explore la beauté silencieuse de l’imperfection, de l’impermanence et de l’incomplétude autant de principes que célèbre le wabi-sabi, dans une attention portée aux choses simples, marquées par le temps.
Le lieu photographié est une maison restée fermée depuis le départ de ses habitants en 2001. Rien n’y semble avoir bougé, et pourtant, tout a changé. Sous une apparente immobilité, les objets portent en eux l’érosion du temps, la fragilité de la matière, la mémoire suspendue. Lorsque l’artiste tente de déplacer une chaise du salon, celle-ci s’effondre aussitôt en poussière comme un rappel saisissant que rien n’est permanent, et que toute chose porte en elle la possibilité de sa disparition.
"Wabi-Sabi" est une méditation visuelle sur le passage du temps, sur la grâce discrète des choses usées, oubliées ou délaissées. À travers ces photographies, l’artiste invite à regarder autrement, à accepter la transformation et à trouver de la beauté là où l’on ne pense pas toujours à la chercher.
Le lieu photographié est une maison restée fermée depuis le départ de ses habitants en 2001. Rien n’y semble avoir bougé, et pourtant, tout a changé. Sous une apparente immobilité, les objets portent en eux l’érosion du temps, la fragilité de la matière, la mémoire suspendue. Lorsque l’artiste tente de déplacer une chaise du salon, celle-ci s’effondre aussitôt en poussière comme un rappel saisissant que rien n’est permanent, et que toute chose porte en elle la possibilité de sa disparition.
"Wabi-Sabi" est une méditation visuelle sur le passage du temps, sur la grâce discrète des choses usées, oubliées ou délaissées. À travers ces photographies, l’artiste invite à regarder autrement, à accepter la transformation et à trouver de la beauté là où l’on ne pense pas toujours à la chercher.
bottom of page